Guerre d'Italie
Informations diverses
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Paroles
Par un beau jour, me prit l’envie
D’y aller me promener
Dessur les champs de l’Italie
Où l’armée fut abandonnée.
Mais tout en poursuivant ma route,
Quand j’ai voulu m’y reposer,
Trois grenadiers qui m’aperçurent
Ils s’en viennent pour m’arrêter.
Ah ! Vous aurez bien de la peine
À m’y faire rendre prisonnier :
Nous sommes ici pour nous défendre,
Pour combattre en vaillants guerriers.
D’une main je pris mon grand sabre,
D’un seul coup j’en mis deux à mort,
Le troisième fut sans courage,
Fut trouver son état-major.
L’état-major fondit en larmes
En apprenant ce grand danger.
Hélas grands dieux ! Quel dommage
D’avoir perdu ces deux guerriers !
Références
Rapporté par Charles Beauquier dans les Chansons populaires recueillies en Franche-Comté en 1894 (Lire en ligne).
Coirault : 06804 Le déserteur qui se bat avec les grenadiers