La chanson de l'ivrogne
Informations diverses
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Paroles
Le matin quand je me lève
Je mets la main sur le cou
Sur le cou de la bouteille
Et je commence à boire un coup
Toujours ma femme me gronde
Elle me dit que je bois trop
Mais elle n'as rien à me dire
Je boirais jusqu'au tombeau
Ma femme si tu me grondes
Je quitterais le logis
Je descendrais à la cave
Et j'y ferais bâtir mon lit
Si je meurs que l'on m'enterre
Dans la cave auprès du vin
Les pieds contre la muraille
Et la tête sous le robin
S'il en tombe quelques gouttes
Sera pour me rafraîchir
Mais si le tonneau s'enfonce
Je boirais à mon plaisir
Les plus forts ivrognes
Porteront les quatre coins du drap
Et le restant des ivrognes
Chanteront le libera
Références
Collecté auprès de Joseph Gallard à Le Monastier-sur-Gazeille (Haute-Loire) en 1980 (Notice AMTA PCH_a053_02)
Coirault : 11102 L'ivrogne qui menace de faire son lit à la cave, Laforte : II, Q-19 Le cou de ma bouteille