O Lillo yo'n mertsan

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Informations diverses

Paroles : Anonyme
Musique : Traditionnel
Interprètes :
Origine : Périgord
Danse :
Mp3 :

Paroles

Partitions de deux mélodies pour Si je savais voler extraite de l'article Vieilles chansons patoises du Périgord par Emmanuel Casse et Eugène Chaminade paru dans le numéro XIX de la Revue de philologie française et de littérature en 1905, page 270
Occitan Français

O Lillo yo'n mertsan
O Lillo yo'n mertsan
K'o tres tan beloy filho zeylan li ro
K'o tres tan beloy filho zeylan la

N'o morida loy douoy,
Gardo la pu poulido,

L'o metudo ol mestie;
Couturiero de bilo.

Y'e rehstado tre tzour,
La laughizou l'o prizo

Mestre, m'en boli ona,
La langhizou m'o prizo.

Attende z-a douma,
You bou foray counduire

Sa bostre pay, chegur,
Par tre-z-artsie de bilo.

N'ay pas bejoun d'artsie
Boli tre tzoyno filho.

À Lille est un marchand
À Lille est un marchand
Qui a trois jolies filles, zeylan lan ro
Qui a trois jolies filles, zeylan lan ro

A marié les deux,
Garde la plus jolie,

Et l'a mise au métier
Couturière de ville.

Y est restée trois jours,
Mais la lngueur l'a prise

Maître, m'en veus aller,
Car la langueur m'a prise.

Attendez à demain
Je vous ferai conduire

Chez votre père, sûr,
Par trois archers de ville.

N'ai pas besoin d'archers ;
Je veux trois jeunes filles.

Références

Rapporté par Emmanuel Casse et Eugène Chaminade dans l'article Vieilles chansons patoises du Périgord paru dans le numéro XIX de la Revue de philologie française et de littérature en 1905, page 270 (Lire en ligne).

Coirault : 00216 La couturière à qui on n’apprend qu’à chanter et qu’à rire

Échelle : 5 degrés : TTD4D3D 6-1234